Guinea Bissau turismo

Le périmètre de l'île d'Orango et de l'île voisine d'Orangozinho est constituée par une succession de rives couverts par mangroves, petites baies sableuses avec des hautes plantes de palmier, pointes rocheuses à la caractéristique couleur ferrugineuse. Mais en quelques points, plutôt que des petits baies, la côte présente des longues plages de sable fine. Toutes les plages dégradent dans la mer doucement et vous pourrez marcher longtemps avant d'arriver à une hauteur où ne plus toucher le fond.

La plus connue est la plage d'Orango Ponta Amerò, la seule où l’on peut arriver à pied.
Elle s'étend de la Pointe Amerò, immédiatement devant l'Orango Parque Hôtel, jusqu'à le Ponta Canero, quelques minutes à pied d'Eticoga, où il fait escale la pirogue qui hebdomadairement voyage entre les îles. Une plage longue et presque dehors du monde, même si à deux pas d'où vous séjournerez dans l'île.

L'autre est à l'Orangozinho Ponta Anó, qui s'étend au sud de la pointe, peu loin du village d'Acanho. Elle est très belle et encore isolée plus de celle d'Orango, parce qu'elle n'est pas accessible à pied: il faut y aller en bateau.

Vous devrez vous apporter à manger et à boire, parce que vous ne trouverez pas de gens desquelles acheter quelque chose. Il pourra-t être plus facile de rencontrer des femmes qui recueillent des coquillages dans la sable quand la marée descend ou des animaux qui cherchent de la nourriture sur la plage.

En ayant un bateau à disposition, vous pourrez vous retirer dans une des innombrables petites baies sableuses le long la côte ou naviguer autour des îles, à coté d’une végétation qui pousse de l'eau et de milliers d’oiseaux (quelques photos dans la colonne à gauche).

Ici dessous la plante des îles d'Orango et Orangozinho: les plages sont indiquées avec une rose des vents.

Conseil des habitants des îles:
faites attention aux races qui peuvent se cacher dans le sable du fond; il est recommandé de ne pas marcher déchaussés dans l'eau et de ne pas ramper les pieds pour éviter d'être piqués avec les aiguillons des races heurtés par mégarde.